التخلف المنظم في العراق

Organized backwardness in Iraq

In modern Iraq, desert opportunism was present in power with its different interests, as the interests of the British changed, which led to a series of authoritarian military coups, operating under the British flag in all its forms. To move the Iraqi state – with its institutions – from the principles of civility to the governance of the revolutionary leadership councils and the visions of the military, and then – with the increasing difference – every military general sought the assistance of his clan or whoever allied with him. And because of the continuation of the uprisings launched from a religious dimension mixed with clanism and elitist against the British presence or later foreign influence, against the extremism of Bedouin and the collapse of the Iraqi civilization, and in refusal to the collapse of the moral structures that historically governed the Iraqi scene, the generals and their councils depended on the clan, and the departments and institutions were linked to the movement of the military institution itself. In contrast to the clans of the majority who come from a historical city, which is established on the principle of rejecting the rulership of the oppressor, this gives the desert clans the instrument of managing the institutions of the Iraqi state, and these clansShe came carrying all the opportunistic and dictatorial spoils that characterize her spectrum.

Iraq had a cash reserve of thirty billion dollars, and in 1980 alone, its imports amounted to 25 billion dollars. The regime misused the wealth in the most horrific way, and the development of oil facilities was also lagging behind. Oil revenues increased during the ten years preceding the war with Iran. Only 20 times, while in Saudi Arabia it rose 85 times, in Kuwait 99 times, and in the Emirates 80 times, while in Libya, the rates of increase increased astonishingly, and Iraq has the second oil reserves in the world [1] .

The number of Iraqi forces in 1987 reached one million three hundred thousand people as a result of the need to deploy more than 130 regular brigades in a state of stable defense, along the front for many years, and this size had a severe impact on public life, in addition to the recruitment of teachers, teachers, doctors and engineers. To military service, in a way that affects the workflow in schools, hospitals, buildings, and others, it has required the recruitment of hundreds of thousands of non-Iraqi workers, and this led to the entry of more than two million non-Iraqi workers into Iraq.[2] .

The failed policy of political decision centers and administrative decision centers before 2003 AD, and the unbridled desire of state lobbies in the political leadership that was created after 2003 AD to privatize Iraq – as a homeland – and hand it over on a plate of gold to international auctions[3] – Unfair and often not serious – and the spread of the phenomenon of organized corruption has moved Iraq from the bosom of development to the quagmire of the failed contract of industry. Where the severe deterioration in the productivity and the high proportion of energy idle at all production units of industrial and service in both the public and mixed, we find that about 70% of the public sector companies only operating at 30 – 50% of its energy design, as well as the low quality of the Iraqi industrial products, As the public and mixed companies adhere to the minimum Iraqi standard specifications (derived from international standards), while the private sector companies – in most of them – are unable to apply these standards.[4] .

Le retard organisé en Irak

Dans l’Irak moderne, l’opportunisme du désert était présent au pouvoir avec ses différents intérêts, à mesure que les intérêts des Britanniques changeaient, ce qui a conduit à une série de coups d’État militaires autoritaires, opérant sous le drapeau britannique sous toutes ses formes. Pour l’État irakien – avec ses institutions – de passer des principes de civilité à la gouvernance des conseils de direction révolutionnaires et aux visions de l’armée, puis – avec la différence croissante – chaque général militaire a sollicité l’aide de son clan ou de quiconque allié avec lui. Et à cause de la poursuite des soulèvements lancés d’une dimension religieuse mêlée de clanisme et élitiste contre la présence britannique ou plus tard l’influence étrangère, contre l’extrémisme des bédouins et l’effondrement de la civilisation irakienne, et en refus à l’effondrement des structures morales qui régissait historiquement la scène irakienne, les généraux et leurs conseils dépendaient du clan, et les départements et institutions étaient liés au mouvement de l’institution militaire elle-même. Contrairement aux clans de la majorité qui viennent d’une ville historique, qui est établie sur le principe du rejet de la domination de l’oppresseur, cela donne aux clans du désert l’instrument de gestion des institutions de l’État irakien, et ces clansElle est venue avec tout le butin opportuniste et dictatorial qui caractérise son spectre.

L’Iraq disposait d’une réserve de trente milliards de dollars, et rien qu’en 1980, ses importations s’élevaient à 25 milliards de dollars. Le régime a abusé de la richesse de la manière la plus horrible, et le développement des installations pétrolières était également à la traîne. Les revenus pétroliers ont augmenté au cours de la dix ans avant la guerre avec l’Iran. Seulement 20 fois, alors qu’en Arabie Saoudite il a augmenté 85 fois, au Koweït 99 fois, et aux Émirats 80 fois, tandis qu’en Libye, les taux d’augmentation ont augmenté de façon étonnante, et l’Irak a le deuxième pétrole réserves dans le monde [1] .

Le nombre de forces irakiennes en 1987 a atteint un million trois cent mille personnes en raison de la nécessité de déployer plus de 130 brigades régulières dans un état de défense stable, le long du front pendant de nombreuses années, et cette taille a eu un impact sévère sur le public vie, en plus du recrutement d’enseignants, d’enseignants, de médecins et d’ingénieurs. Pour le service militaire, d’une manière qui affecte le flux de travail dans les écoles, les hôpitaux, les bâtiments et autres, il a nécessité le recrutement de centaines de milliers de non-irakiens travailleurs, ce qui a conduit à l’entrée de plus de deux millions de travailleurs non irakiens en Irak.[2] .

La politique qui a échoué des centres de décision politiques et centres de décision administratifs avant 2003 AD, et le désir effréné de l’ État lobbies dans la direction politique qui a été créé après 2003 AD de privatiser l’ Irak – comme une patrie – et le remettre sur une plaque d’or ventes aux enchères internationales[3] – Injuste et souvent sans gravité – et la propagation du phénomène de la corruption organisée a fait passer l’Irak du giron du développement au bourbier du contrat raté de l’industrie. Là où la grave détérioration de la productivité et la forte proportion d’ énergie inutilisée dans toutes les unités de production de l’ industrie et des services tant dans le public que dans le mixte, on constate qu’environ 70% des entreprises du secteur public ne fonctionnent qu’à 30 – 50% de son énergie conception, ainsi que la faible qualité des produits industriels irakiens, car les entreprises publiques et mixtes respectent les normes irakiennes minimales (dérivées des normes internationales), tandis que les entreprises du secteur privé – dans la plupart d’entre elles – sont incapables d’appliquer ces normes[4] .